Imaginons une ville s’étendant sur trois collines surplombant les ramifications méridionales de la Murge, zone essentiellement calcaire et dont les habitations, pour se préserver de la chaleur estive du sud de l’Italie sont peintes en blanc.
Vous comprendrez pourquoi l’on nomme Ostuni, la ville blanche. Mais il arrive parfois qu’en ouvrant les yeux, après une nuit noire d’hiver, le voyageur perdu dans les Pouilles voit surgir au-delà des oliveraies une ville blanche encore plus blanche…


